Corps:
Après avoir vécu chez sa mère quelques temps, Sophie à dû trouver un logement pour elle et son fils. Elle à fait une demande de logement à la mairie mais les demandes étant nombreuses, les délais sont très long et.. paperasse, paperasse, paperasse. Elle a tout de même trouver un apparetment de dépannage par le biais d'une associaiton et a ensuite croisé la route de la FLS qui lui à permis de décrocher les clés de cette maisonnette qu'elle voyait se construire juste devant ses fenêtres.Bien sûr, elle à dû monter un dossier, prouver qu'elle avait un travail et qu'elle était en mesure de payer un loyer. La difficulté à trouver un logement concerne également des personnes ayant une situation professionnelle stable. Aujourd'hui, Sophie vit avec son fils et leur chien, dans un logement social loin de tout cliché. Elle n'habite ni dans un HLM, ni dans une cité ni même dans une ville surpeuplée mais dans un village paisible où elle peut regarder son fils aller à l'école en toute sécurité.
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Scènes de vie
25 Juin 2013
Votre prénom:
Nadège
Corps:
"Je ne sais pas ou va mon chemin, mais je marche mieux quand ma main serre la tienne". Alfred de Musset. Ma rencontre avec les differentes personnes lors de ce projet, ainsi que leurs témoignages ont tracé la ligne directrice de mon travail pour "un parcours de mal logé". L' utilisation de triptyques m' a permis de mieux mettre en avant l' évolution de leurs histoires, à travers des photos contrastées et découpées, pouvant refléter la réalité de leur quotidien.
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25 Juin 2013
Votre prénom:
Kevin
Corps:
Quittant ma Normandie natale pour la capitale avec des projets plein la tête, j'ai dépensé sans compter un petit héritage. Sans surprise, la galère est arrivée avec l'hiver. Un CHU m'a alors accueilli pour des nuits mais, malgré la promiscuité de chambrées de 40 lits, je me suis fait un ami. Avec lui, j'ai connu l'errance, la manche, les accueils de jour et l'angoisse qu'on noie dans l'alcool, jusqu'à atterrir au Bois de Vincennes. Après le plaisir de se croire presque en vacances, l'automne a tourné au cauchemar. C'est là que j'ai intégré le Fort de Nogent où, à 6 par chambre, j'ai pu me reposer. Au printemps, retour à la rue avec, à la clé, dépression et maladie de peau, au point de me retrouver, un soir, sur un trottoir, hurlant que tout s'arrête ! Grâce à un passant, j'ai été accueilli dans des lits-infirmiers du Samu Social. Et peu à peu la chance a tourné : une thérapie pour reprendre des forces, puis, enfin, le refuge d'un bateau à Neuilly pour une vie en reconstruction...
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Portrait
20 Juin 2013
Votre prénom:
Emmanuel